Nous avons eu la chance de voir en avant première le dernier de la saga des X-men: Days of a Futur Past. Même s’il faut quelques secondes pour comprendre le titre de ce nouveau volet, le scénario suit bel et bien l’histoire originale des X-Men dans ces grandes lignes, avec une attention particulière à quelques détails. La frustration de ne pas voir certains X-Men au maximum de leur potentiel dans les précédents épisodes est assouvie dans la bande annonce et dès le début du film. Bobby se transforme entièrement en glace et Colosus joue de ses muscles d’adamantium. Du spectacle, il y en a. Les scènes d’actions sont superbement réalisées et viennent rythmées le film avec parcimonie.
Le véritable intérêt du film est dans son scénario et la mise en scène de grandes valeurs comme la tolérance ou encore l’espoir. Des thématiques que l’ont retrouve dans les précédents opus mais qui ne sont pas aussi bien mis en exergue. X-Men: Days of a Futur Past permet aussi une meilleure compréhension du passé de certains personnages et du futur du monde dans lequel vivent les X-Men.
Et Omar Sy dans tout ça ? On ne peut pas dire grand chose sur lui. Ses apparitions sont réussis mais étant un personnage de troisième plan, impossible de se faire une opinion sur son jeu d’acteur. On peut juste dire qu’il est plutôt crédible en Bishop.
Mon petit reproche ? Tout est encore trop centré sur Wolverine même s’il est un personnage clé du comics… Quoiqu’il en soit, X-Men: Days of a Futur Past reste un film à ne pas rater pour les fans du genre.